Description
Ashura Girl
de Ôtarô MAIJÔ, traduit par Jacques LALLOZ
Aiko s’en veut terriblement d’avoir cédé à Sano, expérience nulle et humiliante. Le coït s’est conclu sur un spécial kick d’Aiko, il ne l’aura pas volé !
Comme par hasard, le lendemain, Sano a disparu et ses copines accusent Aiko… de quoi exactement ? D’avoir couché avec lui ? De l’avoir laissé la queue entre les jambes ? De l’avoir… tué ?
Marre de ces filles débiles qui disent n’importe quoi, marre aussi de ces réseaux sociaux qui attisent la violence, après cette histoire de démon tueur d’enfants !
Au cœur du chaos, Aiko se rend compte que celui qu’elle aime vraiment était là depuis le début.
Finalement il n’y a que l’amour…
Un voyage initiatique complètement déjanté, dans la tête d’une lycéenne japonaise glamour-punk-rock. Aiko et son alter ego, Chastin, se répondent dans une esthétique à double face, de Tarantino à Miyazaki. Un roman extrême, provocateur et déroutant, qui inaugure la collection étrange.
Anne –
Ce livre est totalement différent des livres que je lis d’habitude, et peut-être bien de tous les livres que j’ai pu lire jusqu’à maintenant. Sa lecture m’a ébranlée, choquée, et puis m’a fait réfléchir. Il faut avoir l’estomac bien accroché avant de monter dans la montagne russe d’émotions que nous fait vivre le roman, mais est-ce que ce n’est pas ça, au fond, le rôle de la littérature ?
Noiraude –
Poignant et retournant, ce roman ne laisse pas indifférent. J’ai apprécié l’approche originale, la critique sociétale et la découverte de la figure de Ashura. Âmes sensibles, s’abstenir.