Description
Le Meurtre d’Alice
de Yasumi KOBAYASHI , traduit par Alice HUREAU
Alice est suspectée de meurtre au Pays des Merveilles. Les crimes se multiplient et se répercutent dans le monde réel, au sein d’une université japonaise. Petit à petit, Alice se sent menacée tout comme Ari Kurisugawa, une des étudiantes du campus. Deux mondes mystérieusement liés dans lesquels se cache un meurtrier expert en faux-semblants. Alice et Ari parviendront-elles à le démasquer et à sortir indemnes de cette histoire qui frise la folie ?
Entre polar et fantastique, ce roman évolue dans le dédale de l’univers de Lewis Carroll. Un polar atypique qui vous fera découvrir, sous la plume d’un auteur reconnu au Japon, un pan inédit de la littérature japonaise contemporaine.
Plus de 70 000 exemplaires vendus sur l’Archipel.
Ce roman original est arrivé en 4ème place dans le guide de romans policiers japonais, Kono mystery ga sugoï ! (Quel mystère incroyable ! ) en 2014.
Il est le premier d’ une série Meurtres dans les Contes.
Le deuxième volet publié en 2022 est disponible ici.
Stéphanie –
J’ai adoré le va et vient entre les deux mondes, et les multiples rebondissements et coups de théâtre. On retrouve Lewis Caroll et son univers, mais on se demande si le monde réel n’est pas plus absurde que celui d’Alice !
Domdom –
Un roman enlevé, drôle, palpitant, j’ai adoré retrouver l’univers de Lewis Caroll et toute cette douce folie (ou folie douce ?) qui s’en dégage.
Jérémie Eiselé –
Polar dont on se prend au jeu au fur et à mesure de la lecture, à condition de s’accrocher et d’adhérer aux personnages d’Alice aux Pays des Merveilles (j’avais oublié à quel point ils étaient pénibles !). L’alternance entre les mondes (et dont l’intertextualité est très bien expliquée en postface par la traductrice Alice Hureau) est bien amenée et nous donne l’occasion de faire des hypothèses sur les différents personnages. A quelques occasions, on trouve même quelques touches d’humour et ce n’est qu’assez tard dans le roman que l’on découvre lequel des deux sens du titre est le bon.
Passer les difficultés de la loufoquerie des personnages de Lewis Carroll, le roman se lit bien et on a envie d’en découvrir la fin.